Quelles conséquences pour les patients ?
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💶 Vous paierez vos médicaments plus cher
Les franchises vont doubler, et le Gouvernement veut que vous les régliez directement au comptoir. Même pour un traitement chronique, vous devrez avancer l’argent.
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📍 Vous ferez plus de kilomètres
Les petites pharmacies sont menacées de fermeture. Conséquence : moins d’officines, plus d’attente, plus de trajets.
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💊 Vous ferez face aux pénuries, seuls
Avec moins de pharmacies, plus personne pour trouver des alternatives ou vous dépanner en cas de rupture.
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⚖️ Vous paierez, l’État économisera
Pendant que les patients paient plus et que les pharmacies s’effondrent, le Gouvernement fait des économies sur la santé.
Signez notre pétition pour défendre votre pharmacie, vos traitements et surtout votre santé.
La santé de proximité en danger !
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4 000 pharmacies fermées en 10 ans
Le réseau est passé de 23 000 à moins de 20 000 officines. Le recul est continu et s’accélère.
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200 à 300 fermetures par an
Chaque année, ce sont des centaines de pharmacies qui ferment, souvent en milieu rural ou en périphérie.
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6 000 pharmacies menacées
C’est près d’un tiers du réseau national qui pourrait disparaître si rien ne change.
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30 000 emplois en danger
Préparateurs, pharmaciens adjoints, étudiants : tous risquent d’être impactés par la crise du réseau.
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100 € de franchise à régler en pharmacie
Le Gouvernement veut faire payer la franchise médicale directement au comptoir, jusqu’à 100 € par an et par patient, dès l’achat de médicaments. Une mesure jugée injuste et humiliante par les pharmaciens.
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5 000 communes avec une seule pharmacie
Plus de 5 000 communes françaises n’ont aujourd’hui qu’une seule officine, dont près de 4 000 en zone rurale de moins de 2 500 habitants.

Une profession unie
Pour la première fois, tous les syndicats de pharmaciens s’unissent face à une décision injuste du Gouvernement qui menace directement votre accès aux soins. En baissant brutalement les ressources des pharmacies, ce sont les plus fragiles qui risquent de disparaître, laissant des communes entières sans officine. Derrière les vitrines qui ferment, ce sont des emplois perdus, des traitements plus difficiles à obtenir, et une santé de proximité qui recule. Nous nous mobilisons ensemble, unis, parce que ce combat dépasse nos intérêts professionnels : il concerne chacun d’entre vous.